Encore un texte fort de Gaston Couté où l'ironie se mélange aux idées internationalistes. Un poème contre la guerre et le militarisme, écrit du point de vue d'un travailleur qui pour pouvoir satisfaire ses intérêts à court terme (manger) travaille contre...

Quand on connait un peu la vie de Gaston Couté on peut comprendre qu'il fait référence à son départ pour la capitale, et à la part de lui qu'il a dû sacrifier avec l'espoir de vivre mieux. Est-ce que les événements décrits sont du vécu ? J'en sais rien....

L'histoire d'un homme qui vit et cultive un champ de navets toute sa vie... Un texte de Couté d'une ironie violente et dans un français patoisant. Le thème aurait pu inspirer Brassens pour sa chanson "Pauvre Martin". Le champ de naviots L’matin, quand...

Le petit qui pleure Un gosse qui n'a pas sept ans Chiale au sortir du vieux faubourg Où ça sent la peine et l'amour. Et moi je m'arrête, là longtemps : Moi, dont le coeur saigne ce soir Tout rouge, en un silence atroce. Je m'arrête sur le trottoir A regarder...

Difficile de citer un poème de Gaston Couté sans devoir parler de son auteur. Poète libertaire et paysan né en 1890 dans le Loiret (région Centre) son œuvre en français et en patois est aussi brillante qu'inconnue. Les spécialistes de la poésie le connaissent,...

La femme de ménage voulait une augmentation. La Maîtresse de maison très énervée par cette requête lui a demandé : " - Et pourquoi voulez-vous une augmentation ? - Eh bien, Madame, pour 3 raisons. La première, c'est parce que je repasse mieux que Madame....

Le temps perdu Devant la porte de l'usine le travailleur soudain s'arrête le beau temps l'a tiré par la veste et comme il se retourne et regarde le soleil tout rouge tout rond souriant dans son soleil de plomb il cligne de l'oeil familièrement Dis donc...

Il paraît que pour être intéressants les jeux vidéos doivent vous faire vivre des aventures trépidantes... Ce jeu démonte ce préjugé. Vous y jouez le rôle d'un employé lambda qui se lève pour allez au travail. Grâce à la barre d'espace et aux flêches...