Poésie transallemande...
Presque 24h de train. J'ai eu le temps de dormir et rêvé du Transibérien que je prendrai un de ces jours...
2 jeunes et jolies Allemandes se sont installées dans le compartiment où j'étais si tranquille. L'une d'entre elles lisait "Faust" de Goethe et j'ai pas pu m'empêcher de blaguer à ce sujet.
J'ai imaginé qu'elles venaient d'une grande ville, vu leur look. Celle qui lisait "Faust" m'observait fréquemment du coin de l'oeil, l'autre a surtout dormi. Moi je lisais un super bouquin de contes et je me fendais la gueule ! Des histoires belles et drôles.
Beaucoup écrit aussi. Avant de descendre je leur ai demandé si elles comprenaient le francais. La première a fait non de la tête, la deuxième a dit oui.
Je lui ai donné un poème dans une enveloppe cachetée de couleur. La dernière image que j'ai vue est celle de cette jolie inconnue décollant délicatement la carte de visite au dos de l'enveloppe pour l'ouvrir sans la déchirer. On aurait dit une fleur ouvrant ses pétales du bout de ses feuilles.
- 12°C à mon arrivée à Leipzig. La guerre a commencé !
2 jeunes et jolies Allemandes se sont installées dans le compartiment où j'étais si tranquille. L'une d'entre elles lisait "Faust" de Goethe et j'ai pas pu m'empêcher de blaguer à ce sujet.
J'ai imaginé qu'elles venaient d'une grande ville, vu leur look. Celle qui lisait "Faust" m'observait fréquemment du coin de l'oeil, l'autre a surtout dormi. Moi je lisais un super bouquin de contes et je me fendais la gueule ! Des histoires belles et drôles.
Beaucoup écrit aussi. Avant de descendre je leur ai demandé si elles comprenaient le francais. La première a fait non de la tête, la deuxième a dit oui.
Je lui ai donné un poème dans une enveloppe cachetée de couleur. La dernière image que j'ai vue est celle de cette jolie inconnue décollant délicatement la carte de visite au dos de l'enveloppe pour l'ouvrir sans la déchirer. On aurait dit une fleur ouvrant ses pétales du bout de ses feuilles.
- 12°C à mon arrivée à Leipzig. La guerre a commencé !