La fête à mon pote Valentin
R., le voisin d'à côté, qui est aussi mon coloc et mon poteau a fêté son anniversaire il y a quelques jours. Le hasard du calendrier a voulu que ca tombe le jour de la Saint-Valentin. Pour moi qui déteste cette fête (du moins ce qu'elle est devenue : de la fête des Amants (au sens large) au Moyen Age à une vulgaire occasion de consommer de plus) ca paraissait presque subversif.
Oui, il faut faire la fête les jours où il y a des fêtes qu'on n'aime pas ! Quitte à fêter différemment. C'est vachement plus constructif que de faire la gueule dans son coin en remâchant sa frustration...
Pour ma part j'avais passé l'après-midi aux fourneaux pour faire une entrée majestueuse, un plat succulent et un diabolique quadriple fondant au chocolat. Pas très modeste tout ça, mais tellement de gens m'ont fait des compliments !
Celle de droite, M., est une de mes initiatrices à la chanson à texte allemande, celle de gauche, S., est seulement adorable.
On a fini la soirée ensemble entre 7 et 8h du mat, seuls survivants au milieu de quelques cadavres qui parsemaient la pièce, en écoutant Herbie Hancock, Stan Getz et les Gilberto à Carneggie Hall, Dead Can Dance et Djando Reinhardt. Plus d'une heure passée presque sans parler.
Je retrouve le goût de la communication non verbale. Des énergies positives, que ça.
Cette fille est folle. Joliment et contagieusement tarée, allégrement cinglée, irrésistiblement dingue. Elle s'était déjà fait remarquer pour ma crémaillère. Elle m'avait piqué un tube de rouge à lèvres pour faire des bisous sur les joues des mecs.
Bein là elle m'a embarqué dans son délire et on l'a fait à 2. Trace de rouge pour tout le monde ! Merci M.C. pour ta créativité. Une soirée pleine de rebondissements et de fous rires.
Oui, il faut faire la fête les jours où il y a des fêtes qu'on n'aime pas ! Quitte à fêter différemment. C'est vachement plus constructif que de faire la gueule dans son coin en remâchant sa frustration...
Au niveau du repas on avait fait du beau boulot.
Pour ma part j'avais passé l'après-midi aux fourneaux pour faire une entrée majestueuse, un plat succulent et un diabolique quadriple fondant au chocolat. Pas très modeste tout ça, mais tellement de gens m'ont fait des compliments !
Celle de droite, M., est une de mes initiatrices à la chanson à texte allemande, celle de gauche, S., est seulement adorable.
Il y avait toujours du monde au baby foot. R aime ça le baby...
"T'es trop bourré, copain : je nous vois flous !"
Cette fille est une crème...
Lui, il a une âme de beatnik. Quand je l'ai vu posé dans son fauteuil un verre de main à la main, j'ai cru voir un roi antique et philosophe rayonnant de sagesse (faut dire que j'étais vraiment déchiré à ce moment-là !). J'avais invité quelques copines françaises. Je crois que je devrais faire du business car aucune n'a fini seule. Esclavagiste ou proxénète, pas mal comme nouvelle vie...
On a fini la soirée ensemble entre 7 et 8h du mat, seuls survivants au milieu de quelques cadavres qui parsemaient la pièce, en écoutant Herbie Hancock, Stan Getz et les Gilberto à Carneggie Hall, Dead Can Dance et Djando Reinhardt. Plus d'une heure passée presque sans parler.
Je retrouve le goût de la communication non verbale. Des énergies positives, que ça.
Cette fille est folle. Joliment et contagieusement tarée, allégrement cinglée, irrésistiblement dingue. Elle s'était déjà fait remarquer pour ma crémaillère. Elle m'avait piqué un tube de rouge à lèvres pour faire des bisous sur les joues des mecs.
Bein là elle m'a embarqué dans son délire et on l'a fait à 2. Trace de rouge pour tout le monde ! Merci M.C. pour ta créativité. Une soirée pleine de rebondissements et de fous rires.